Le staff s’est perdu la nuit dans Cologne

Sous le voile de la nuit, Cologne s’éveille,

Ville aux mille secrets, au charme sans pareil.

On s’y perd volontairement, âme vagabonde,

Pour goûter l’éclat sombre que la nuit nous inonde.

La cathédrale, majesté de pierre et de verre,

Dressée vers les cieux, éclatante en lumière,

Son ombre nous enveloppe, refuge silencieux,

Où les murmures du temps se font mélodieux.

Les flèches de l’édifice, percées d’étoiles,

Semblent tracer des chemins vers des songes d’opales.

Les vitraux, comme des phares dans la nuit sereine,

Diffusent leurs couleurs, symphonie souveraine.

On s’avance ensuite vers un pont scintillant,

Où des cadenas d’amour, de rêves et de serments,

S’accrochent aux grilles, témoins silencieux

De passions partagées sous le regard des dieux.

Chaque métal, chaque mot gravé,

Raconte des histoires d’amours envolées,

Ou d’espérances tenaces, d’âmes liées,

Par ce rituel ancien, par cet acte sacré.

Le fleuve en contrebas, murmure une chanson,

Tandis que l’on marche, seul, en quête d’abandon,

Dans cette ville de nuit, Cologne mystérieuse,

Où le passé et le présent dansent, ombre harmonieuse.

Sous le ciel étoilé, on se fond dans l’instant,

Les bruits s’estompent, la ville devient élan,

Vers un monde onirique, un espace infini,

Où chaque ruelle sombre résonne de magie.

Ainsi, dans les bras de la nuit, on se laisse aller,

À la douce ivresse de nous perdre, sans nous retrouver,

Pour embrasser l’essence même de Cologne, la belle,

Qui, sous la nuit, se révèle immortelle.

Allez le staff, il est temps d’aller dormir !

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